Données en Santé Environnement

Nous tenons à remercier l’ensemble des contributeurs qui ont permis de présenter l’ensemble des indicateurs présents sur cette page

  • Eaux de Baignade

    07/09/2016

    En marge des risques sanitaires liés à la consommation d’EDCH, ceux liés aux baignades sont également présents : gastroentérites, infections respiratoires, pathologies de type parasitaire et toxique (dermatite du baigneur), toxicité de certaines algues, etc

    Le classement bactériologique des baignades en 2015, basé sur les résultats du contrôle sanitaire des 4 années précédentes fait apparaitre un bon état global des baignades, aussi bien en eau douce qu’en eau de mer La majorité des points de contrôle sont bactériologiquement conformes, mis à part quelques sites en Charente-Maritime (2 sites sur 98) et en Dordogne (1 sites sur 39) Ce bilan positif doit toutefois être nuancé par l’absence de prise en compte, dans les normes actuelles qui encadrent le classement des eaux de baignades, de la surveillance sanitaire des proliférations de cyanobactéries ou de la contamination des eaux par les cyanotoxines Des mesures de gestion immédiates peuvent donc être prises afin de réduire l’exposition de la population sans que le classement bactériologique de la baignade soit remis en cause

  • Nitrates en 2014

    07/09/2016

    Les fortes concentrations en nitrates se retrouvent principalement dans les eaux d’origine souterraine, en raison de l’accumulation des apports minéraux liés et à l’épandage agricole

    La population ayant été exposée au moins une fois en 2014 à une eau ayant fait l’objet de non-conformités (plus de 50 mg/L) est localisée presque exclusivement dans certains bassins de vie du Poitou-Charentes (sud de la Vienne et nord de la Charente) avec une proportion de population exposée pouvant dans certains bassins dépasser 20%, voire 40%

    ministère de la santé

  • Émissions départementales d’oxydes d’azote NOx en 2010

    07/09/2016

    Notamment retrouvés dans les gaz d’échappement de véhicules et en sortie d’installations de combustion, les NOx peuvent être source d’irritations pour les bronches et engendre des troubles respiratoires (asthme, oedèmes pulmonaires, )La carte des émissions départementales par secteur renseigne sur la forte contribution des transports dans les émissions d’oxydes d’azote (environ 2 tiers des émissions régionales de NOx)

    ATMO NA

  • Émissions communales d’oxydes d’azote NOx en 2010

    06/09/2016

    (NOx) : monoxyde et dioxyde, se forment lors de combustions à haute température Notamment retrouvés dans les gaz d’échappement de véhicules et en sortie d’installations de combustion, ils peuvent être source d’irritations pour les bronches et engendrer des troubles respiratoires (asthme, œdèmes pulmonaires)

    Les communes traversées par les axes routiers sont celles où l’on retrouve les plus grandes quantités émises d’oxydes d’azote : 10 000 à 50 000 kg/km² et tout spécialement les grandes communes urbaines où les valeurs peuvent dépasser 50 000 kg/km²

    ATMO NAcartographie interactive ATMO NA

  • Pathologies bronchopulmonaires (hors cancers) entre 2005 et 2013

    05/09/2016

    Différents facteurs environnementaux : pollution de l’air extérieur sous forme particulaire ou gazeuse, qualité de l’air intérieur, exposition professionnelle (silicose, amiante) et le tabagisme  peuvent favoriser la survenue de pathologies respiratoires : bronchopneumopathie chronique obstructive (tabac), asthme, insuffisance respiratoire

    En région chaque année 3145 admissions en affection longue durée

    • un taux de 50,7 pour 100 000 habitants en moyenne contre 71,7 en France métropolitaine
    • 3,3% de population traitée pour asthme

  • Émissions départementales de particules fines PM2.5 en 2010

    05/09/2016

    Les particules fines émanent d’une multitude de sources, tant naturelles (sols, pollens,) qu’anthropiques (trafic routier, installations de combustion, industries,…) Deux catégories de particules sont particulièrement dangereuses : les PM10 (de l’anglais particulate matter, d’un diamètre inférieur à 10 µm) et les PM 25 (diamètre inférieur à 2,5 µm) En raison de leur petite taille, elles peuvent pénétrer très facilement en profondeur dans les voies respiratoires et peuvent être impliquées dans l’apparition ou l’aggravation de plusieurs pathologies : asthme, bronchite chronique, cancer du poumon, affections cardiovasculaires … L’analyse de la contribution respective des secteurs d’activités, montre que le résidentiel/tertiaire est la source prédominante d’émissions dans tous les départements de la région

    ATMO NA